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Les Enfants de Pen Bron, La Turballe

LA PROTHESE DU GENOU

Prothèse du genou

Changer une articulation par une prothèse résulte du fait que l’articulation a été solliciter et avec le temps c’est usée au point que plus rien n’est possible comme autre intervention pour soulager le patient.

La prothèse est une articulation artificielle composée de plusieurs pièces

Fémorale

Tibiale

Et d’une pièce dite intermédiaire entre les deux autres sités ; On peut donc avoir plusieurs types de prothèses du genou selon la gravité de l’usure.

La prothèse du genou partielle : Une seule partie de l’articulation est abimée. Il sera donc proposé la pause d’une prothèse partielle dite (PUC)  

 

prothèse uni- compartimentaire

Prothèse unicompartimentale

 Bien souvent se sera fémoro-tibiale interne, quelques fois externe mais beaucoup plus rarement fémoro-rotulienne.

 

Pour que cette prothèse puisse etre posée et en obtenir tous les avantages bien meilleurs souvent que la pose d’une prothèse totale, plusieurs impératifs sont a prendre en considérations

Type d’usure

État des ligaments

Degré de la déformation du genou

Poids

Etc.

Bien moins tolérante qu’une prothèse totale la pose ne supporte pas une mauvaise indication ou l’imperfection technique

 

 

 

 

La prothèse totale du genou (PTG)

 

Prothèse bicompartimentale

Quand l’articulation est totalement usée dans ce cas la on pratique la prothèse totale du genoux

Deux pratiques sont utilisées

La prothèse de genou a charnière

Les premières prothèses qui ont été posées avec une durée de vie très courte compte tenus des contraintes subie par les implants souvent avec le temps un descellement arrive. Elle est posée pour des indications tres limitées

Chirurgie des tumeurs

Importante déviation du membre suivie d’une usure du système ligamentaire

Tres souvent aussi pour des reprises d’un échec d’une première prothèse.

La prothèse totale a glissement

A l’heure actuelle elle permet une très bonne fiablilité et d’une superbe qualité.

Avec des implants subissant moins de contraintes la prothèse conserve les deux ligaments croisés

Ou prothèse conservant le ligament croisé postérieur ou postéro-stabilisées dans ce cas sacrifiant les deux croisés. Dans ce cas l’absence d’union fixe entre la pièce fémorale et tibiale. Le dessin de la prothèse assure le maintient avec l’aide des ligaments restants.

 

 

 

 

 

 

          

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